3 novembre 2013

La traversée s'est très bien déroulée: avions à l'heure, nourriture bonne, attentes à Genève et Paris en rigolant avec Bondi qui tient la forme. A chacun de nos voyages, nous hésitons à recourir aux services de l'assistance à Paris. En effet, la plupart du temps cela ne fonctionne pas. Cette fois, nous n'avons rien demandé et malgré cela, elle était là et cela n'a jamais aussi bien marché.

Arrivée à Ouaga

Depuis plusieurs années, l'aéroport de Ouagadougou est en rénovation, ce qui n'était pas sans causer quelques problèmes. Les travaux semblent achevés. "C'est pire qu'aux States" se plaint Bondi qui en revient. En effet, il faut montrer patte blanche en apposant sur une machine ultra moderne les empreintes de ses quatre doigts de la main droite, puis le pouce et même chose pour la main gauche. Pendant ce temps, vous êtes photographié sous toutes les coutures. En résumé, plus d'une heure pour passer le control des passeports. Le comité d'accueil composé de Bouba, de Samsung, du roi Naré et du président de l'Association pour le salut des handicapés de la vue du Burkina, Laurent, est présent. Seule ombre au tableau, une de mes valises est restée en rade à Paris. Nous devrons repasser lundi. Arrivés à 23 heures à la pension Yiri Suma où nous prendrons nos quartiers d'été à Ouaga, il fait encore 30 degrés.